Washington DC (Continue)

Washinton, donc, une ville étonnante pensée à la demande de Washington par Pierre l'Enfant, architecte et ingénieur français.... Pas étonnant que le Mall me fasse penser au Champ de Mars... Je disais, beaucoup de touristes américains , beaucoup plus qu'à New York : oui, ici on sent bien qu'on est au centre de l'Union... le sentiment d'appartenance à une Nation est très fort .. Je me demande d'ailleurs, si les américains aiment New York.... Je n'en suis pas sûre.

Washington DC

DC pour les intimes, Disctrict of Columbia.... Depuis le temps que je voulais y aller.... Nous avons loupé le Cherry Blossom Festival mais on ne peut pas tout faire.... pas très grave. 
Bastien c'était occupé de tout, on se demande comment cela se fait : c'est lui qui travaille et c'est lui qui prépare les voyages.... Oui, c'est vrai mais cette semaine j'avais mes devoirs à faire, mes cours à la FAC et il a été plus vite que moi.... Nous avons donc pris le train très très tôt le matin (6.45) de Penn Station,

un peu de poésie

 Lola est poète, (entre autres....) arménienne et américaine. Quand je suis arrivée, Ricardo, un ami nous a mis en relation l'une et l'autre. Moi qui ne connaissais personne ici, j'ai sauté sur ..... (oui, je vous entend d'ici... non, je n'ai pas sauté sur Lola) seulement sur l'occasion! Lola est une des amies qui nous fait aimer et découvrir l'Amérique.... de l'intérieur....Nous donne des adresses de restos, nous fait découvrir la littérature américaine , les légumes d'ici, comme l'ail des Bois , les vins Californiens, mais aussi la culture et la poésie Arménienne..... Bref, il faudrait que vous puissiez la rencontrer car Lola n'est pas seulement ce que je décris, c'est aussi et seulement LOLA !
Lola nous fait partager plein de choses ici, elle connaît New York comme sa poche et c'est très agréable!

Lola a un site, si vous voulez découvrir sa poésie : http://www.lolakoundakjian.com/

Aujourd'hui, elle m'a envoyé un poème que je voudrais partager avec vous , c'est un poème d'un poète Américain Billy Collins

Plight of the Troubadour

For a good hour I have been singing lays
in langue d'oc to a woman who knows
only langue d'oïl, an odd Picard dialect 

at that.

The European love lyric is flourishing
with every tremor of my voice,
yet a friend has had to tap my shoulder
to tell me she has not caught a word.

My sentiments are tangled like kites
in the branches of her incomprehension,
and soon I will be lost in an anthology
and poets will no longer wear hats like mine.

Provence will be nothing more
than a pink hue on a map or an answer on a test.
And still the woman smiles over at me
feigning this look of sisterly understanding.